Divagation
estivale du CAID des Adelles...
Voilà qu'à 35 degrés centigrades, pauvre libellule
Tu
nous fais oublier les affres d'une diverticule
La
soif ne saurait étancher tous ces opercules
La
sueur déshydrate déjà nos pauvres clavicules...
Le
baromètre assoiffé en a perdu sa matricule
Plus
habitué aux « saints de glace » qu'aux monticules
La
chaleur et la soif nous étouffent, telle une tentacule
Piscine
et farniente, heureusement nous véhiculent
Sous
les cocotiers abritant les ébats de nos ventricules
La
météo s'emballe, faisant plier les pauvres renoncules
On
a perdu le mode d'emploi du ventilateur dans le fascicule...
C'est
bien plus beau lorsque c'est inutile... sans virgule !
Les
scientifiques jurent que la Terre se réchauffe...c'est ridicule,
Livrant
leurs savantes cogitations dans d'audacieux opuscules
Oubliant
les malheureux...que la soif gonfle nos vésicules
Perdant
l'appréhension du 0'5,...on en a plein les testicOles !!!
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